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Titre exacte donné par le journal était: La maire de Besançon harcelée après s’être opposée à des pancartes antimigrants 

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Messages haineux, menaces de viol… La maire de Besançon est la cible d’un harcèlement d’une « extrême violence ». L’élément déclencheur ? Une plainte de l’élue après que des banderoles hostiles aux migrants ont été exhibées lors du carnaval de la ville, le dimanche 7 avril.

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« Immigrés » à côté de « violeurs », pouvait-on lire sur les pancartes des militaires du collectif d’extrême droite Némésis. Ce dernier se définit comme un collectif et groupe d’action identitaire se réclamant également du féminisme. Il s’est fait connaître par ses actions et son discours anti-immigration, opposé à la transidentité.

À LIRE AUSSI Qu’est-ce que le « body count », cette théorie sexiste partagée par une influenceuse d’extrême droite ? « Ces propos essentialisants, qui constituent des incitations à la haine envers les étrangers, m’ont conduit à déposer une plainte le même jour pour incitation à la haine raciale », avait alors confié la maire de Besançon.

« Des menaces de viol et des centaines d’injures »

La plainte de l’élue écologiste pour « incitation à la haine raciale » avait déclenché la saisie du parquet de Besançon et l’ouverture d’une enquête. Dans ce cadre, une militante d’extrême droite a été placée en garde à vue le 9 avril, puis relâchée, d’après les informations rapportées par TF1.

Dès le 8 avril, la maire de Besançon a été prise pour cible par une vague de cyberharcèlement après sa plainte. « À l’annonce de ce dépôt de plainte, j’ai subi un harcèlement ciblé et coordonné d’une extrême violence sur les réseaux sociaux. Au-delà des outrages me visant en ma qualité de maire, ou des appels à commettre des crimes à mon encontre, dont des menaces de viol, j’ai reçu des centaines d’injures et des propos haineux ou dégradants », a indiqué Anne Vignot dans un communiqué.

Le quotidien local L’Est républicain avait pris la décision de divulguer certains de ces messages au cours de la semaine. « Sois patiente, tu seras tondue à la Libération », ou encore « Saute dans un cercueil qu’on en finisse immondice », pouvait-on lire. « Un des conseillers régionaux du parti d’extrême droite a même utilisé une expression empruntée au vocabulaire nazi », a encore dénoncé Anne Vignot.

La maire de Besançon harcelée après s'être opposée à des pancartes antimigrants 

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